Tokyo, le soir de notre arrivée dans la capitale.

En remontant Edo avenue à la recherche d’un restaurant pour diner nous sommes tombés sur cette devanture.

Complètement par hasard

Evidemment à coté des restaurants qui proposent des plats en plastique en vitrine pour faire envie, on a tout de suite compris qu’on donnait là dans un autre registre. Aucun prix affiché mais, un peu fous, on a poussé la porte et tenté notre chance.

Tatamis dans toute la salle, solides planches au sol faisant office de table et cousin pour s’asseoir. Rien que du tres traditionnel (la photo ci-dessous prise à notre sortie, ne rend pas du tout l’ambiance de notre arrivée dans cette salle animée, pleine de japonais souvent attablé – si je puis dire – à deux)

Complètement par hasard

On s’installe donc un peu hésitant mais surtout très curieux. Contre toute attente on nous propose une carte en anglais qui nous précise que la spécialité du restaurant est les « dozen ». De même quelques vieux restes d’anglais, dozen pour moi signifie douzaine, mais de quoi ?

Bref nous commandons totalement au hasard sans savoir ce que nous allons manger (ça, c’est quand meme souvent le cas. A ce petit jeu les filles ont failli être obligées de manger des brochettes de foie de veau mais ça c’est une autre histoire J)

On nous a servi ceci et cela

Complètement par hasardComplètement par hasard
Complètement par hasardComplètement par hasard
Complètement par hasard

Des sardines. Vachement bien cuisinées, pas juste grillées au barbecue, avec des goûts pas du tout attendus.

Moi j’ai trouvé ça super. Bon pour qui connaît Vence, lui moins…

En plus, ambiance oblige, les filles se sont super bien tenues. Bref c’était drôlement chouette et on était très contents d’être tombés sur ce restaurant complêtement par hasard.

Complètement par hasardComplètement par hasardComplètement par hasard
Complètement par hasard

Tokyo, le 7 avril

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