Changement radical

Ambiance radicalement différente. En quelques heures de vol, nous sommes passés de l’humidité océanique à la sécheresse altiplanique. Il faut dire que quelques heures de vol font près de même 5000 km et qu’aujourd’hui à San Pedro de Atacama nous sommes plus proche de Lima que de Santiago.

Il n’empêche. Nous n’aurons jamais fait autant de vols internes qu’au Chili – 3 pour être exact – et nous n’aurons jamais été confrontés à autant de différences d’une région à l’autre dans un même pays.

L’ambiance est radicalement différente, les gens aussi. Nous voila plongés dans le grand bain de la cordillère des andes – ou plutôt dans la grande montagne.

Changement radical

Atterrissage dans une petite ville du « farwest » mais pas du tout fantomatique et même plutôt très animée, même si c’est principalement par des touristes.

Petit hotel avec sympathiques hamacs extérieurs, petite ville en murs de terre blanc et argile, soleil de plomb le jour, froid polaire la nuit, à 10 minutes en voiture vallée de la mort (valle de la muerte) et de la lune (valle de la luna) absolument lunaire (comme son nom l’indique) et à 15 minutes désert le plus aride du monde (et oui ! il n’aurait pas plu sur le désert d’Atacama depuis l’arrivée des espagnols, la bagatelle de 500 ans, bon je vous rassure il y a une bonne irrigation venant des montagnes aux alentours)…

Bref changement radical mais c’est bien ce que nous cherchions : des expériences diversifiées. Et nous sommes là au meilleur endroit pour nous préparer à la montée sévère – et un peu angoissante - qui nous attend pour arriver en Bolivie.

Changement radical
Changement radical
Changement radical
Changement radical
Changement radical
Changement radical

Texte illustré par quelques images de la ville et de nos premières excursions (valle de la muerte y valle de la luna) (si les images passent sinon ça sera pour plus tard)

Changement radical

San Pedro de Atacama, les 23 et 24 juin

Retour à l'accueil